Young people’s perspectives on the 2024 summit of the future

The report “Voices of Youth: Young People’s Perspectives on the 2024 Summit of the Future & the Acceleration of the 2030 Agenda” is a consolidation of inputs from young people, gathering their innovative ideas and bold action needed to accelerate the Sustainable Development Goals (SDG) implementation.  This report was prepared in anticipation of the Summit of the Future and aims to enhance coordination amongst all actors supporting youth engagement and consultations in the context of SDG implementation and review. It spotlights promising practices, solutions, and recommendations. 

Interpeace welcomed the opportunity to contribute some brief lessons from our in-country and policy work to the “Voices of Youth: Young People’s Perspectives on the 2024 Summit of the Future & the Acceleration of the 2030 Agenda” report. It is our firm belief that the Pact for the Future should not overlook the needs of young people in the present in favour of future generations yet unborn: it is the agency and leadership of youth now, as well as of future youth cohorts, that will determine the shape of the future. Young people are concerned about a wide range of issues and their voices should not be confined to a specific chapter. The Pact must therefore reflect the cross-cutting reality of young people’s lives. To support youth in a systematic way, we suggest that the Pact adopts two approaches. First, young people must be at the heart of designing and owning the words of this Pact so that it carries their voice, conviction, and legitimacy. Second, this cannot be a document set in stone, but instead it must incorporate built-in opportunities for reflection, review, and revision by the generations for which this Pact will be intended. This is what will keep the Pact alive, relevant, and responsive.

Regional Workshop: Cross-border Dialogue and Youth Empowerment for Peace in the Great Lakes Region

Having long been plagued by instability, conflict, and war, the people of the Great Lakes region remain steadfast in their pursuit of peace.  With this objective in mind, young people from Rwanda, Uganda, the Democratic Republic of Congo (DRC) and Burundi met for three days in Kigali from 11 to 13 December for a workshop organised by Interpeace and its local partners, namely Pole Institute and Action pour la Paix et la Concorde (APC) in the Democratic Republic of Congo, Centre d’Alerte et de Prévention des Conflits (CENAP) in Burundi, Vision Jeunesse Nouvelle (VJN) and Never Again Rwanda in Rwanda. This workshop was part of the ‘Cross-border Dialogue and Youth Empowerment for Peace in the Great Lakes Region’ programme. The aim was to exchange ideas on peace initiatives led by young innovators and peace fellows supported by the programme.

Change stories book – Cross-border Dialogue and Youth Empowerment for Peace in the Great Lakes Region Programme

In January 2021, the Great Lakes programme was launched, comprising two initiatives: the “Youth Innovation Lab for Peace (YouthLab)” and “Cross-border Dialogue for Peace in the Great Lakes Region: Phase III.” These projects receive funding from the European Union and Swiss Development Cooperation (SDC). By working collaboratively, they have instigated significant positive changes among young people. The programme serves as a platform for youth to express their creativity, innovation, ambition, and collaborative spirit in advancing peace. The stories and testimonials you are about to read feature the programme’s short-term impact, reinforcing the belief that lasting peace in the region can be achieved by empowering young individuals in the peacebuilding process.

Les jeunes innovateurs déterminés à faire parler la paix dans la région des Grands Lacs

Longtemps préoccupés par l’instabilité, les conflits, la guerre et toutes leurs conséquences, les habitants de la région des Grands Lacs, ne baissent pas les bras dans leur lutte pour la paix. Avec ce même objectif, pendant trois jours plusieurs jeunes du Rwanda, de l’Ouganda, de la République démocratique du Congo (RDC) et du Burundi se sont réunis du 11 au 13 décembre à Kigali. Cet atelier était organisé par Interpeace et ses parteneraires locaux dans le cadre du programme “Dialogue transfrontalier et autonomisation des jeunes pour la paix dans la région des Grands Lacs”, afin d’échanger sur des initiatives pour la paix menées par 30 jeunes innovateurs.

Il a servi de platforme et d’opportunité pour discuter des efforts de consolidation de la paix dans la région ainsi que de saluer l’apport des jeunes à cette noble cause à travers leurs diverses initiatives mises en oeuvre dans leurs pays respectifs.

En RDC, les espaces MUUNGANO et l'initiative TUUNGANE KWA AMANI ont notamment été portées par des jeunes des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu respectivement, dans des milieux scolaires et universitaires ainsi que dans les communautés.

De leur côté, pour promouvoir la cohabitation pacifique entre les réfugiés et les communautés d’accueil, les jeunes innovateurs ougandais utilisent le football pour favoriser un espace de socialisation et d’échange entre ces deux catégories d’habitants, privilégiant ainsi les jeux pour promouvoir l’harmonie et l’entente dans leurs milieu.

L'initiative J’IBUNTU est celle lancée par ceux du Burundi pour faire advancer la résilience socio-économique dans leurs communautés. Ces jeunes recourent également aux nouvelles technologies de l'information et de la communication, en établissant des plateformes de discussion sur les réseaux sociaux pour véhiculer leurs messages.

Enfin, au Rwanda, les innovateurs qui participaient militent pour la santé mentale et l’entrepreneuriat pour la paix par l'initiative AMANI YOUTH EXPO. La cible principale étant la jeunesse, ils forment, informent et sensibilisent sur ces questions.

Convaincus que la paix est possible et dans l'optique de pérenniser l'impact de leurs initiatives dans la région des Grands Lacs, après avoir reçu des certificats de mérite, ces jeunes innovateurs appellent tout un chacun à s'approprier le message de la consolidation de la paix. Ils insistent cependant sur le soutien et l'engagement actif des décideurs afin d’aboutir à une paix durable dans la region et se servent de leurs slogan: “Alors viens autour du feu, autour du feu de la paix autour du feu”.

Représentant l'Union européenne à cet atelier, le chef de la section politique à la délégation au Rwanda, Uwe Wissenbach, a rappelé le combat que mène cette coalition pour la construction de la paix et n’a pas manqué à saluer ces initiatives. "Résoudre les conflits, cela prend du temps et beaucoup d'énergie. L'important, c'est de faire intervenir des échanges d'idées pacifiques et qu'on puisse construire ensemble un avenir. Alors, j'ai écouté avec beaucoup d’attention les différentes interventions des jeunes des différents pays. Leurs initiatives sont louables", a déclaré Wissenbach.

Prenant la parole, le représentant de la Coopération suisse au développement à cet atelier, Dominique Habimana, a dit: “Les jeunes sont l’espoir non seulement de demain mais aussi d’aujourd’hui. Demain commence aujourd’hui. Ils possèdent de l’energie nécessaire pour relever les défis. Notre rôle doit être de les accompagner pour qu’ils jouent lemleur efficacement”.

Invité d’honeur à ces assises, le directeur général chargé de la communication et des partenariats au ministère rwandais de l'unité nationale et l'engagement civique (MINUBUMWE), Paul Rukesha, a appelé les jeunes à travailler ensemble pour combattre les discours de haine. "Nous encourageons les jeunes à s'unir, à avoir de l'amour et à éviter toute forme de discrimination”, a-t-il indiqué.

Depuis son lancement, le programme “Dialogue transfrontalier et autonomisation des jeunes pour la paix dans la région des Grands Lacs”, sous l’appui financier de l’Union européenne et de la Coopération suisse au développement, a apporté des changements remarquables sur le terrain.

Parmi ses principales réalisations, figurent 30 jeunes innovateurs et 120 peace fellows formés et encadrés pour devenir des acteurs de paix dans leurs pays et communautés respectifs; cinq initiatives innovatrices de consolidation de la paix développées par les jeunes, soutenues techniquement et financièrement par le programme; 19 dialogues intergénérationnels et interculturels et sept dialogues politiques organisés, facilitant ainsi un espace sûr pour que les jeunes et les aînés puissent discuter et promouvoir une culture de dialogue afin de surmonter les préjugés et les stéréotypes; deux festivals transfrontaliers de la paix au Burundi et au Rwanda, ayant atteint 821 participants; ou encore un sommet de la paix des jeunes des Grands Lacs tenu au Burundi en mars 2023 et qui a fourni aux jeunes un espace d’échange entre eux, avec les aînés et les décideurs politiques sur les défis auxquels est confrontée la nouvelle génération, de même que les opportunités de jouer pleinement leur rôle clé dans le processus de paix et de développement.

https://www.youtube.com/watch?v=jMdfVWHIp9M

Somalie : comment les femmes et les jeunes peuvent utiliser les médias sociaux pour promouvoir la paix

La Somalie est plongée dans un conflit violent et prolongé qui a érodé la confiance de la communauté, l’harmonie sociale, le sentiment d’activisme, le dialogue constructif et la solidarité. Cette situation a été aggravée par le non-réglementation des médias sociaux largement utilisés par les jeunes. Cependant, le pays s’est lentement redressé ces dernières années. Pour résoudre ces problèmes sociaux, le programme Talo Wadaag II a organisé deux jours d'ateliers du 8 au 9 juillet 2023 pour les femmes et les jeunes de Benadir. Il est mis en œuvre conjointement par Interpeace, l'Heritage Institute for Policy Studies (HIPS) à Benadir et Galmudug, le Puntland Development Research Center (PDRC) au Puntland et l'Académie pour la paix et le développement (APD) au Somaliland.

Les ateliers de deux jours du HIPS ont discuté du rôle des médias et de l’activisme dans le changement social, la paix et l’harmonie communautaire. Les ateliers médiatiques ont souligné le rôle des médias, en particulier des médias sociaux, dans l’établissement d'une atmosphère positive propice au changement social, en promouvant la paix, la diversité des points de vue et la tolérance dans la société somalienne frappée par la guerre. Au cours des séances, les participants ont expliqué comment les jeunes et les femmes peuvent utiliser les médias sociaux pour promouvoir l'harmonie communautaire, la paix, la construction de l'État et la bonne gouvernance, et en même temps, comment les jeunes peuvent être conscients des aspects négatifs liés aux médias sociaux. Les ateliers ont également offert aux participants et aux experts locaux bien établis l'occasion d'interagir les uns avec les autres et d'avoir des discussions critiques et franches sur les questions concernant la communauté.

Les principaux objectifs étaient d'aider les participants à discuter de l'impact des médias sur le changement social, la paix et la stabilité ; les aider à prendre conscience de l’impact négatif des médias sociaux sur la société ; faciliter des discussions interactives sur l'importance de l'activisme pour le changement social ; aider les participants à défendre les droits de l'homme ainsi que leurs responsabilités ; les exhorter à participer activement au renforcement de l’État, à la gouvernance et à la démocratisation ; et enfin renforcer leur pensée critique et remettre en question l’information des médias de masse.

« Les ateliers ont établi un espace de dialogue convivial, constructif et communautaire dans lequel ils ont échangé leurs expériences et leurs idées. Alors que les connaissances et l’expérience pratique des jeunes dans les médias sociaux étaient énormes, les femmes plus âgées ont également partagé leurs expériences de vie et leur sagesse liées aux médias sociaux », a déclaré le directeur du programme Talo Wadaag II de HIPS, le Dr Yusuf Sheikh Omar.

Par exemple, une membre du Centre de développement des femmes somaliennes, Farhia Ali Hajji, a expliqué comment les médias sociaux ont influencé ses pensées et ses sentiments. Elle s’est inspirée de l’histoire décourageante d’une jeune fille qu’elle a vue sur les réseaux sociaux. Celle-ci transportait un jerrycan d'eau car sa famille ne trouvait pas d'autre source d'eau. Pour l’aider, quelqu’un a publié sur les réseaux sociaux les difficultés de la vie de cette jeune fille, changeant son existence. Les personnes qui ont regardé ce post ont apporté beaucoup de soutien à la famille de cette personne, ce qui a permis à celle-ci de s’inscrire à l’école et à ses proches de construire une maison et de démarrer une petite entreprise. "Cela m'a vraiment touché et cela montre clairement à quel point les médias sociaux sont un outil puissant s'ils sont utilisés correctement", a raconté Farhia.

Plusieurs jeunes ont également exprimé l'impact positif de l'atelier sur les participants. Comme l’explique Sumaya Mohamed, de la Somali Youth Civic Organisation : « L’un des enseignements précieux que j’ai tirés de ce programme est la capacité de plaider efficacement en faveur de diverses questions sociétales et de représenter les intérêts de la population. Un autre aspect du programme qui m’a beaucoup marqué était l’influence significative des médias dans la conduite du changement social ».

Le partage de connaissances et d'expériences a également aidé les participants à prendre conscience de l'énorme impact négatif des médias sociaux sur la société, en particulier sur les jeunes. « J’ai découvert que les jeunes passent beaucoup de temps sur les réseaux sociaux dans le seul but de simplement les parcourir, sans les apprendre ou en tirer profit. Ils publient également des informations privées sur d'autres personnes à leur insu", a déclaré Abdirahman Mohamed Ahmed du Somali Youth Development Network.

Le Dr Yusuf Omar a expliqué que les ateliers interactifs ont aidé les participants à échanger des histoires touchantes tirées de leurs expériences de vie quotidiennes liées aux médias sociaux. Ce partage de connaissances a approfondi leur conscience et leur compréhension du pouvoir des médias et de la culture de l’activisme en tant que facteurs essentiels de transformation sociale. Les ateliers ont également élargi les perspectives des participants et affiné leurs compétences en matière de plaidoyer et de promotion d’une transformation sociétale indispensable. « J'ai appris tellement de choses, comme être une militante et défendre les personnes sans voix… les médias sociaux peuvent être utiles et présenter d'énormes avantages, mais ils peuvent parfois présenter des inconvénients », a déclaré Aisha Yusuf Hassan du Somali Youth Development.

Mme Saida Hassan, assistante de recherche à Talo Wadaag, a confirmé les témoignages des participants. « J'ai eu l'impression que les femmes et les jeunes ont montré beaucoup d'intérêt pour l'éducation civique, l'activisme et les ateliers sur les médias sociaux. Leur langage corporel et leurs commentaires ont montré à quel point ils étaient engagés. Je ne doute pas que ces ateliers les ont sensibilisés aux rôles que les femmes et les jeunes sont censés jouer dans la construction de l'État, la politique et le changement social en général. Ils ont appris s'il y aura des élections à l'avenir, pourquoi ils voteront et la qualité des personnes pour lesquelles ils voteront. »

 

Les tout premiers YouthTalks du Rwanda se concentrent sur les compétences vertes pour le développement durable et la paix

Dans le but d'autonomiser, d'éduquer et d'impliquer la jeunesse rwandaise, le Partenariat pour la paix au Rwanda (RPP), une collaboration entre Interpeace, Aegis Trust et Never Again Rwanda (NAR), a organisé les tout premiers Rwanda YouthTalks, à la veille de la Journée internationale de la jeunesse, le 11 août dernier. L'événement a réuni des jeunes de tout le Rwanda pour participer et discuter du thème : « Compétences vertes pour les jeunes vers le développement durable et la paix ».

Des jeunes d'horizons divers, allant d'étudiants, d'entrepreneurs, de militants à des décideurs politiques, se sont rassemblés au Mémorial du Génocide de Kigali – Amphithéâtre. La diversité des participants a fourni un cadre idéal pour apprendre, partager des expériences et des perspectives afin de conduire à de solutions innovantes pour répondre aux préoccupations environnementales et sociales urgentes au Rwanda et dans le monde.

S’exprimant lors de l’événement en tant que représentante de la jeunesse, Larissa Umulinga a souligné que « dans un monde plein de défis, il est crucial de saisir le lien vital entre l’action climatique et la paix. Les jeunes ont un pouvoir unique de changement. Notre passion peut remodeler les politiques, favoriser un mode de vie durable et réduire les risques de conflit et de crise climatique. Nous guidons un avenir où le bien-être environnemental et la paix mondiale vont de pair ».

En tant qu'événement centré sur la jeunesse, les Rwanda YouthTalks ont présenté les histoires personnelles de cinq jeunes intervenants autour du concept de compétences vertes, dont Vania Odelice Ineza, une entrepreneure de la mode, Noel Nizeyimana, un entrepreneur vert, Florence Twambazimana, une jeune femme d'affaires, Rulinda Kwizera, une chercheuse en santé mentale et Andersonne Adolatha Uwineza, une artiste aux multiples talents. S'appuyant sur leurs expériences, ceux-ci ont partagé leur compréhension et leur utilisation des compétences vertes dans leur vie personnelle et professionnelle pour promouvoir l'action climatique, la santé mentale, l'entrepreneuriat et la paix dans leurs communautés.

À l'aide d'un format de narration, les intervenants ont approfondi l'importance de développer celles-ci chez les jeunes, encourageant leurs pairs à ne pas attendre le changement, mais à être le changement nécessaire à la durabilité du développement et de la paix au Rwanda.

Partageant son histoire sur la façon dont il a cofondé une entreprise qui transforme les déchets en engrais organiques pour révolutionner l'agriculture dans son pays, Noel Nizeyimana a mis les jeunes au défi de sortir des sentiers battus et de saisir toutes les opportunités qui les entourent, en particulier dans le secteur de la protection de l'environnement. « Dans chaque défi, il y a une opportunité. J'invite les jeunes à adopter une approche similaire. La protection de l’environnement et la transformation agricole contribuent à bâtir des communautés durables et pacifiques ».

Florence Twambazimana, une descendante des survivants du génocide qui vit dans un village de réconciliation situé dans l'est du Rwanda, a souligné l'importance de l'autonomisation économique des jeunes, qui contribue grandement à la construction d'une paix résiliente dans les communautés. « Lorsque vous vivez dans la pauvreté, votre état d’esprit est déformé. La pauvreté a des effets secondaires négatifs sur la cohésion sociale et peut entraîner davantage de conflits. Mais les opportunités économiques peuvent changer cela ». Elle a déclaré, en racontant la gestion d'une entreprise commune avec les descendants des auteurs du génocide, qu’elle considérait que les ennemis avaient contribué à établir la confiance et de bonnes relations entre eux.

Les divers intervenants ont souligné qu'en dotant les jeunes des connaissances et des outils nécessaires pour adopter des pratiques durables, le Rwanda peut favoriser une génération de citoyens responsables et proactifs qui contribuent activement à la sauvegarde de l'environnement tout en faisant progresser leurs propres opportunités.

Les Rwanda YouthTalks ont également fourni un espace permettant aux jeunes innovateurs de présenter leurs projets et initiatives durables à travers une exposition présentant divers produits respectueux de l'environnement allant de la santé, de la beauté et de la mode à la décoration. Des startups respectueuses de l'environnement aux efforts de conservation menés par les communautés, ces efforts ont montré l'immense potentiel des jeunes esprits pour provoquer des changements positifs dans leurs communautés.

Les tout premiers Rwanda YouthTalks ont œuvré comme exemple éclatant de la manière dont les jeunes peuvent jouer un rôle central dans l’établissement d’un monde plus durable et plus pacifique. En mettant l'accent sur l'importance des compétences vertes pour le développement durable et la paix, l'événement a souligné la nécessité d'une action collective, de l'innovation et d'un dialogue éclairé. La jeunesse rwandaise a montré sa capacité à inspirer et à diriger l’engagement en faveur d’un avenir plus vert et plus harmonieux pour les générations à venir.